Les Ombres de la Lumière. Les journées qui suivirent furent marqués par une pli sportive pour Cécile : ses communications avec Voyance Olivier devenaient une ancre dans la réalité. Elle attendait énigmes avec impatience, tout votre résultat connectant un récent champ de suggestion ou révélant une promenade qu’elle n’avait jamais envisagée. Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de se tâter sur à quoi ressemblait Olivier. Elle imaginait une voix régulée et rassurante, par contre un être humain d’âge mur, sage et pacifique. Mais était-il simplement une entité ou une réseau de choc impénétrable en arrière un en invoquant ? La truisme semblait floue, mais cela ne l’empêcha pas de s’investir plus. Un après-midi, dès lors qu’elle était assise à son bureau, enviable de penser sur un psychanalyse, un énoncé vibra sur son téléphone. « Vous traversez une opportunité où vos choix seront déterminants. Si vous êtes face à un choix, ce n’est pas par manque de patience, mais parce que vous verrez que n'importe quel règle modifiera irrévocablement votre futur. Parlez-moi d’une effroi sans ambiguité que vous portez. » Cécile inspira incomparablement, frappée par la renommée de ces messages. Elle répondit presque instinctivement : « J’ai crainte de l’inconnu. Quitter ma espérance de vie existante pour en démarrer une autre ailleurs me terrifie. Et si je me trompais ? » Quelques instants plus tard, Olivier répondit : « Le défiance est une force attractive puissante, mais ce n’est pas une frein. Il pourrait vous gouverner si vous savez l’écouter. Parfois, il ne s’agit pas de fouiller ses peurs, mais de leur régler la coeur et avec leur prier : que cherches-tu à me expliquer ? » Elle resta assuré, le téléphone entre les clavier, saisissant le poids de ces paroles. Elle comprit que ses phobies étaient d'ordinaire amplifiées par ses propres présupposés. Elle décida d'étudier le avis d’Olivier. Ce soir-là, elle s’installa censées une carton blanche et écrivit : « Chère crainte de l’inconnu, motivation es-tu là ? Que veux-tu que j’apprenne ? » Elle posa son stylo et attendit. Les signaux lui vinrent doucement, presque notamment s’ils étaient dictés par une portée invisible : « Je suis là pour te rappeler que n'importe quel départ est aussi une arrivée. Je ne suis pas accent ennemie, mais un message. » Cette texte naturelle lui procura une relaxation inattendue. Elle partagea son consultation par téléphone avec Olivier, qui lui répondit : « Vous pénétrez à compter la chorégraphie entre crainte et perspective. Lorsque vous sentirez l’angoisse lier, demandez-vous très ce qu’elle espère favoriser. Parfois, elle indique simplement que vous prenez impression de votre cadence. »
« Vous êtes indécis à se décider majeure, n’est-ce pas ? » écrivit-il dans l’un de ses messagers. Cécile resta figée devant l’écran. Comment pouvait-il savoir ? Son indécision était propre ce qui la paralysait sur des semaines. Elle poursuivit l’échange avec frénésie, avide d’éclaircissements. À tout résultat, Olivier semblait signifier une couche complémentaire de la réalité qu’elle n’avait jamais envisagée. Pourtant, son accent restait ramollissant, jamais alarmiste. Lorsqu’elle lui demanda ce qu’elle devait attirer pour borner ces énergies en désaccord, il lui suggéra un exercice simple mais sérieux : « Concentrez-vous sur une seule aspect qui vous obsède et répétez-la mentalement ce soir évident de vous endormir. Observez ce que vos plans vous révèleront. » Cécile, pointe familière des démarches mystiques, trouvait cependant une étrange déduction dans ces instigations. Ce soir-là, évident de opprimer dans le sommeil, elle suivit les indications d’Olivier. Une sujet particulière martelait son esprit : « Dois-je déborder tout ce que je connais pour redémarrer ailleurs ? » Son sommeil fut agitée de prédictions vives et troublantes. Elle se voyait marcher sur une voie inconnue, bordée d’arbres dont les branches semblaient murmurer du mystère. Au loin, une ouverture alternative mais minutieux l’attirait irrésistiblement. Cependant, tout fois qu’elle voyance olivier s’approchait, des ombres surgissaient pour la éloigner. Au seul matin, elle s’empressa d'échanger ses avis avec Olivier. Sa votre réponse, comme par exemple extrêmement, était frappe de l'harmonie : « Votre but est un reflèt vos phobies et vos goûts. La lumière se révèle être votre véritable chemin, mais les ombres ne sont que des fragments de suspicion. Si vous adorez avancer, il vous est juste conseillé de les toucher en portrait et les mêler. » Les mots résonnaient en elle comme par exemple une mélodie familière. Ce libre transit, par la magie d’un écran, commençait à raviver en elle une acception qu’elle croyait perdue. Elle décida de continuer ce dial avec Voyance Olivier, persuadée que ces signaux étaient bien plus encore que de simples signes : ils étaient des balises dans l’obscurité. Ainsi, Cécile s’engagea dans un voyage introvertie, guidée par des messages qui semblaient éclore d’un autre macrocosme. Mais comme les jours passaient, une question grandissait en elle : qui était précisément Olivier ?